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Droit civil

Droit des contrats

Un contrat est un accord passé entre une ou plusieurs personnes dont les volontés vont dans le même sens. Le contrat signé implique une obligation juridique. Le contrat fait partie de notre vie quotidienne : on le retrouve au travail, dans des opérations de ventes et d’achats, dans des prestations de services, etc. Il est parfois difficile de s’y retrouver parmi les nombreuses clauses qui le définissent.

À Toulouse comme ailleurs, beaucoup d’entreprises ou de particuliers s’engagent dans des contrats néfastes et réalisent tardivement l’utilité de se faire accompagner en amont par un avocat. Souvent, le mal est déjà fait. Néanmoins dans ce cas là, le conseil et l’expertise d’un avocat peuvent s’avérer précieux pour l’obtention de dommages et intérêts.

Votre avocat vous épaulera tant dans la rédaction du contrat que tout au long de son exécution. Cela vous permettra de vous prémunir contre d’éventuels litiges. Vous pouvez également avoir besoin de vous faire accompagner juridiquement, après coup, en cas de préjudices ou de non respect du contrat par votre cocontractant.

Responsabilité civile contractuelle
La responsabilité contractuelle est l’une des deux facettes de la responsabilité civile avec la responsabilité délictuelle. Elle a pour fonction de réparer un préjudice subi par un créancier en raison de la non-exécution du contrat par le débiteur.

La responsabilité contractuelle n’est engagée que dans le cas où les 3 conditions suivantes sont réunies : 

  • un fait générateur
  • un dommage
  • un lien de causalité entre le fait générateur et le dommage

Pour en savoir plus, contactez un avocat en droit civil. Je suis disponible pour vous renseigner.  

Indemnisation des dommages corporels

Si vous avez subi au cours de votre vie un accident ou une agression physique, vous pouvez obtenir des indemnisations de réparation pour préjudice corporel. Toutefois, l’obtention de ces indemnités se fait sous certaines conditions et après une série d’examens. 

Pour que vous soyez reconnu par la justice comme victime d’un dommage corporel, il vous sera nécessaire de prouver un lien de causalité entre l’atteinte à votre intégrité physique et l’accident/agression. Une expertise médicale sera indispensable.  

C’est uniquement lorsque votre préjudice sera reconnu par la justice qu’une indemnisation sera possible. Vous faire accompagner par un avocat vous sera d’une utilité essentielle pour étayer vos preuves et espérer l’octroi d’une réparation financière.

Indemnisation des victimes d’accident de la circulation

Que vous soyez passager, cycliste ou piéton, en tant que victime d’accident de la route, vous avez droit à une indemnisation. Pour l’obtenir, il vous faudra faire certaines démarches.  

Si vous êtes conducteur, en revanche, l’indemnisation n’est pas automatique. Cela dépend de votre degré de responsabilité dans l’accident et des garanties de votre contrat d’assurance automobile. Vous pouvez ainsi obtenir différentes indemnisations : totale, partielle ou nulle.  

Plusieurs types de préjudices peuvent être sujet à une indemnisation pour les victimes d’accident de la circulation : 

  • des douleurs et souffrances causées par l’accident
  • une invalidité permanente ou temporaire, totale ou partielle
  • un dommage esthétique (déformation, cicatrice…)
  • un préjudice sexuel (impossibilité de procréer ou d’accomplir l’acte)
  • un préjudice d’agrément (impossibilité de faire un loisir ou une activité sportive)
  • un préjudice moral (pour les proches de la victime en cas de décès)
  • un préjudice économique

Pour s’assurer du bon déroulement de la démarche, contactez-moi. Je saurais vous accompagner jusqu’à l’obtention de votre indemnisation. 

Droit de la propriété
Le droit à la propriété permet d’user, de jouir ou de disposer d’une chose, d’une manière absolue et exclusive, dans certaines conditions définies par la loi. Inscrite dans la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789, le droit à la propriété a un caractère inviolable et sacré. La propriété est un droit subjectif et réel qui donne un pouvoir sur la chose possédée. Elle est constituée par trois facteurs : 

  • le droit d’utiliser la chose : se servir de la chose soi-même et avoir la possibilité qu’un tiers s’en serve aussi (comme par exemple, l’habitation d’une maison).
  • le droit de percevoir un revenu grâce à cette chose : le propriétaire peut percevoir les fruits de la chose, les consommer ou les conserver.
  • le droit de disposer de la chose : le propriétaire d’une chose peut la vendre, la donner, voire la détruire.

Toutefois, le droit de la propriété a aussi certaines limites et peut être soumis à des restrictions imposées par la loi ou par des intérêts publics. Consultez un avocat pour défendre votre droit de propriété. 

Bornage
Vous pouvez demander à votre voisin d’effectuer un bornage de sa propriété. Le bornage consiste à définir la limite entre deux terrains côte-à-côte.

Le bornage n’est pas obligatoire sauf si votre voisin vous le demande ou si vous faites cette demande auprès de votre voisin. Le bornage se fait à frais communs entre votre voisin et vous. 

La contrainte du bornage a été ajoutée au Code civil afin de réduire les conflits de voisinage.

Cependant, il est possible de contester les limites des bornes ou refuser le bornage. Pour cela, il faut avoir des motifs légitimes comme la contestation du titre de propriété, la primauté d’un premier bornage, etc. 

Si vous rencontrez des difficultés à ce sujet, contactez-moi pour vous éclairer.

Troubles du voisinage
Le trouble anormal de voisinage a été défini par la Cour de cassation dès 1960. Que ce soient des nuisances sonores ou olfactives, vos voisins peuvent être sanctionnés pour trouble de voisinage. Toutefois, ces sanctions sont soumises à certaines conditions. 

Il existe plusieurs types de troubles du voisinage :  

  • Tapage diurne : bruits produits durant la journée entre 7h et 22h comme par exemple des enfants en train de jouer, un fort volume sonore provenant d’une télévision ou d’une chaîne Hi-Fi…
  • Tapage nocturne : troubles du voisinage se passant entre 22h et 7h du matin.
  • Des travaux : bruits de chantier en dehors des horaires réglementaires.
  • Aboiements d’animaux.
  • Nuisances olfactives : provoquées par des odeurs particulières comme les ordures ménagères, le barbecue, la fumée ou encore l’élevage d’animaux.

Dans un premier temps, vous pouvez discuter amiablement avec votre voisin pour lui demander de cesser le trouble. En cas de récidive, vous pouvez dans un deuxième temps contacter les services administratifs concernés comme le syndic de copropriété, la mairie ou la préfecture pour les troubles causés par des professionnels (chantier, restaurant, usine…), ou encore contacter la police ou la gendarmerie. 

En cas d’échec, vous pouvez engager une procédure auprès du tribunal compétent et faire appel à l’expertise d’un avocat. Si vous êtes dans cette situation, n’hésitez pas à me contacter pour aider à retrouver la sérénité et la tranquillité dans votre voisinage.

Bail et dette locative
En cas de litige locatif entre le propriétaire d’un logement et son locataire, il est possible d’avoir recours à la justice. 

Que votre locataire ne paye pas son loyer ou que votre bailleur refuse de vous remettre votre caution, vous avez la possibilité de demander les services et les conseils d’un avocat.  

Vous pouvez me contacter pour rédiger votre lettre recommandée de mise en demeure de votre interlocuteur pour non-respect de ses obligations.

Litiges entre consommateurs et professionnels
Vous êtes consommateurs et vous avez un différend avec un professionnel suite à l’achat d’une prestation de service ou d’un bien matériel. Si le professionnel n’a pas mis en place un processus de médiation ou que les voies de négociations et autres alternatives de règlement du conflit ne vous satisfont pas, alors il est possible de recourir à la justice pour régler ce différend.

Pour vous y retrouver et bénéficier d’un conseil juridique sur mesure pour votre cas particulier, contactez-moi. 

Crédit à la consommation
Manque d’information, clause abusive, non-respect d’un contrat, en tant que consommateur vous n’êtes pas dépourvu d’options si vous estimez être victime d’un organisme de crédit à la consommation.

Votre litige peut trouver une solution en suivant différentes étapes : recours à l’amiable, médiation, recours en justice…

Les crédits à la consommation sont l’objet d’une législation bien définie qui, globalement, est protectrice des emprunteurs. 

Cependant, il arrive que certains litiges puissent survenir entre un consommateur et un établissement de crédit, comme par exemple : 

  • vous n’avez pas reçu de fiche d’informations standardisées concernant votre crédit à la consommation de la part de l’organisme avant le versement financier. 
  • l’organisme ne s’est pas suffisamment renseigné sur votre solvabilité ou vous a accordé un montant trop élevé par rapport à votre capacité de remboursement et vous êtes aujourd’hui en difficulté financière. 
  • Non-respect de votre délai de rétractation.
  • Vous vous êtes aperçu après la signature du contrat qu’une clause vous semble abusive.
  • Sans préavis, l’organisme a augmenté le taux applicable de votre crédit renouvelable.  

Si vous vous reconnaissez dans l’un de ces cas, vous pouvez faire appel à un avocat pour vous conseiller sur la démarche juridique à effectuer.

Malfaçons
Vous venez d’acheter un appartement ou une maison ou vous venez de faire des travaux dans votre logement, et vous vous êtes rendu compte d’un défaut ou d’une imperfection. 

L’entreprise qui a réalisé la construction ou les travaux est tenue à une obligation de conformité et de résultat. 

Si vous rencontrez un litige avec cette entreprise, vous pouvez intenter une action en justice. Pour cela, faites appel aux conseils d’un avocat. 

Garantie des vices cachés
La garantie des vices cachés est en mesure qui protège l’acheteur d’un bien immobilier ou d’un produit contre d’éventuels vices cachés qui dégradent la qualité de la chose vendue. 

Le vendeur de votre appartement, de votre maison ou de votre voiture est tenu de vous informer des vices. Si vous vous rendez compte qu’il existe des vices cachés vous pouvez demander une mise en action de la garantie. 

Toutefois, cette mise en œuvre de la garantie des vices cachés est soumise à certaines conditions. Consultez un avocat pour vous aider dans cette démarche.

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MORERE Joanne
Avocate au Barreau de Toulouse

13 rue de la Colombette – 31000 TOULOUSE

Tel : 07.72.72.35.91

Mail : morere.avocat@gmail.com